Пиши Дома Нужные Работы

Обратная связь

Текст для зрительно-устного перевода

Объем текста: 1600 п.з.

7 Morts dans le quartier chrétien de la vieille ville de Damas

 

Dimanche matin, au moins sept personnes ont été tuées dans un attentat dans le quartier chrétien de le vieille ville de Damas, selon une source au sein des services de sécurité. "De nombreuses autres ont été blessées dans l'explosion d'une bombe ou d'une voiture piégée sur la place de Bab Touma, devant le commissariat de police", a affirmé cette source. Il s'agit du premier attentat dans ce quartier, l'un des plus vieux de la capitale.

Samedi, l'armée a de nouveau bombardé les alentours de Maaret Al-Noomane, une ville clé sous contrôle rebelle dans le nord-ouest, alors que des combats avaient lieu sur l'autoroute proche qui relie Damas à Alep, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'homme.

L'OSDH, qui s'appuie sur un large réseau de médecins et militants, a également fait état de violents combats dans la province de Damas et dans celle d'Idleb, ainsi qu'à Homs et Alep faisant 108 morts, dont 42 civils, 29 rebelles, et 37 soldats.

Les craintes d'un débordement régional du conflit ont été en outre ravivées par un attentat qui a tué vendredi à Beyrouth le chef des renseignements de la police anti-syrien Wissam al-Hassan, attribué par l'opposition libanaise et des experts au régime Assad. Le pouvoir à Damas a dénoncé un acte "lâche" et "terroriste" mais n'a pas encore réagi publiquement aux accusations de l'opposition libanaise.

 

 

Билет №10

Текст для зрительно-устного перевода

Объем текста: 1600 п.з.

Un Palestinien de la bande de Gaza tué par des tirs de l’armée israélienne

Moins de quarante-huit heures après l’entrée en vigueur de la trêve entre Israël et les groupes palestiniens de Gaza, un habitant de l’enclave a été tué ce vendredi 23 novembre par l’armée israélienne. Il s’approchait avec d’autres de la ligne de démarcation entre la bande de Gaza et le territoire israélien.

Selon le Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza, les soldats israéliens ont tiré sur un groupe d’agriculteurs qui se rendaient sur leur terre à proximité de la frontière. De leur côté, les autorités israéliennes parlent d’une manifestation de plusieurs centaines de Palestiniens qui se sont approché de la clôture et ont commencé à l’endommager. Il y aurait eu des tirs de sommation avant le coup de feu mortel.



Le Hamas dénonce une première violation de la trêve et annonce que l’Egypte, médiateur du cessez-le-feu, sera saisie d’une plainte.

Ce drame illustre les incertitudes qui demeurent, après l’entrée en vigueur de la trêve. L’accord prévoit la cessation des attaques de part et d’autre, mais aussi une plus grande liberté de mouvement pour les Gazaouis, y compris dans cette zone de quelques centaines de mètres qui borde la frontière israélienne - une bande de terre dans laquelle l’armée de l’Etat hébreu interdit toute circulation aux Palestiniens, ce qui a déjà occasionné dans le passé des tirs parfois mortels.

A l’heure actuelle, les Palestiniens de Gaza ne savent toujours pas ce que le cessez-le-feu va leur rendre comme liberté de mouvement : les modalités concrètes de l’accord doivent encore être discutées.

 

 

Билет №11

Текст для зрительно-устного перевода

Объем текста: 1600 п.з.

 

Syrie : Bachar el-Assad décrète une nouvelle amnistie, sauf pour les «terroristes»

En Syrie, deux jours après le départ de l'émissaire international Lakhdar Brahimi, le président Bachar el-Assad a décrété, ce mardi 23 octobre, une amnistie générale, à trois jours de la fête de l'Aïd el-Adha, pour laquelle le médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe voulait obtenir une trêve unilatérale de chaque partie au conflit. Mais depuis le début de la crise syrienne, ce n'est pas la première fois que le président syrien prend une telle décision.

Le 21 juin 2011, au lendemain de son troisième discours à la nation, Bachar el-Assad avait déjà décrété une amnistie générale pour tous les crimes commis avant le 30 juin. 
Un mois avant cela, il avait déjà émis un décret similaire : 500 détenus qui « n'avaient pas de sang sur les mains », avaient été libérés. L'opposition avait jugé cette mesure insuffisante et trop tardive. Puis un troisième décret a été publié en janvier dernier.

Cette quatrième fois, ce serait donc pour tous les détenus qui auraient commis des crimes avant ce 23 octobre, excepté pour les « terroristes » et les criminels en fuite, sauf s'ils décident de se rendre. Mais aucun chiffre n'a été avancé sur le nombre de prisonniers libérables.

Le terme « terroriste » est très vague et désigne surtout les insurgés, mais aussi les opposants pacifiques, blogueurs, manifestants ou simples citoyens qui ont gonflé les cellules des centres de détention tout au long de ces 20 mois de crise.

A chaque amnistie, des centaines de détenus sont libérés, dont quelques opposants emblématiques dont la situation est régulièrement dénoncée par des ONG de droits de l'homme. Mais à peine le décret publié, la répression se poursuit avec son lot d'arrestations.

Билет №12

Текст для зрительно-устного перевода

Объем текста: 1600 п.з.

Liban : la tension baisse à Beyrouth, les affrontements continuent à Tripoli

 

Au lendemain des obsèques du général Wissam al-Hassan, qui ont tourné en manifestation puis en débordements contre le Premier ministre Najib Mikati, des affrontements sporadiques se sont produits ce lundi 22 octobre dans la capitale libanaise, où l'armée s'est déployée.

Forte du mandat du gouvernement (lui-même soutenu par la communauté internationale), l’armée libanaise est intervenue avec fermeté pour rétablir le calme dans le pays.

A Beyrouth, elle a déployé des centaines de soldats d’élite équipés de véhicules blindés dans les quartiers chauds. Les militaires ont rouvert les routes bloquées par les miliciens, qui ont reculé lorsqu’ils ont trouvé en face d’eux une troupe déterminée.

Des accrochages ont cependant eu lieu dans certains secteurs où les partisans armés de l’opposition s’accrochaient au terrain. Dans la capitale, la tension est sensiblement retombée après le déploiement et la reprise de contrôle dirigée par le chef de l’armée en personne.

Les militaires ont également dégagé la seule autoroute reliant Beyrouth au sud du Liban, coupée en plusieurs points par des miliciens encagoulés, qui vérifiaient l’identité des passagers des voitures.

Mais la tâche n’est pas aussi facile à Tripoli, la deuxième ville du pays. Là-bas, les combats entre sunnites et alaouites ont fait cinq morts et des dizaines de blessés, et se poursuivent avec violence dans plusieurs quartiers.

 

Билет №13






ТОП 5 статей:
Экономическая сущность инвестиций - Экономическая сущность инвестиций – долгосрочные вложения экономических ресурсов сроком более 1 года для получения прибыли путем...
Тема: Федеральный закон от 26.07.2006 N 135-ФЗ - На основании изучения ФЗ № 135, дайте максимально короткое определение следующих понятий с указанием статей и пунктов закона...
Сущность, функции и виды управления в телекоммуникациях - Цели достигаются с помощью различных принципов, функций и методов социально-экономического менеджмента...
Схема построения базисных индексов - Индекс (лат. INDEX – указатель, показатель) - относительная величина, показывающая, во сколько раз уровень изучаемого явления...
Тема 11. Международное космическое право - Правовой режим космического пространства и небесных тел. Принципы деятельности государств по исследованию...



©2015- 2024 pdnr.ru Все права принадлежат авторам размещенных материалов.