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L’ anglais class, form, scientific et quality ».

Les langues empruntent aussi les unes aux autres la forme interne de mots. Ce type d’ emprunt est appelé calque. Le composé français bas-bleu est modelé sur l’ anglais blue-stocking, chou-fleur - sur l’ italien cavolfiore, journée–travail – sur le russe трудодень, de même que l’ adjectif français gauchiste reproduit par les moyens linguistiques propres au français la signification et la forme interne de l’ adjectif russe левацкий.

De préférence, l’ emprunt se fait à la langue d’ un peuple qui, à une époque donnée, exerce une grande influence économique, politique et culturelle sur les autres peuples. Ainsi, la plus grande affluence des mots italiens date du XVI e et du XVIII e siècles, l’ Italie ayant devancé la France dans plusieurs domaines des sciences, des arts et de l’ économie. La plupart des anglicismes ont pénétré dans la langue française au cours du XVIII e et XIX e siècles, époque où l’ Angleterre a acquis un grand prestige dans l’ arène mondiale. Le XX e siècle a apporté une quantité d’ emprunts au russe ce qui s’ explique par l’ influence de l’ Union Soviétique, par ses progrès scientifiques et économiques.

 

LA FORMATION DES LOCUTIONS PHRASEOLOGIQUES

La définition de la phraséologie, le problème des groupements

De mots libres et stables

Le mot « phraséologie » a un double sens. Au large sens du mot la phraséologie c’ est l’ aspect particulier de la lexicologie ou même une branche indépendante de la linguistique qui a pour but d’ étudier les groupements stables (locutions phraséologiques). Au sens étroit du mot la phraséologie de Balzac ou d’ Aragon, par exemple, c’ est l’ ensemble de locutions phraséologiques dont se servent ces écrivains. C’est sous son premier aspect que la phraséologie nous intéresse. La grande question qui se pose concerne la nature des groupements libres et des groupements stables (locutions phraséologiques), leurs traits particuliers, leurs limites. Les groupements libres qui se constituent au moment de la parole tels qu’ un bon livre, un mauvais livre, un bon camarade, un mauvais camarade,la maison de mon père, le crayon de mon frère, etc. Sont du ressort de la grammaire (de la syntaxe). La phraséologie s’ occupe des groupements stables (locutions phraséologiques) qui ne se créent pas au moment de la parole, mais y sont reproduit en tant qu’ unités toutes faites, unités lexicales.

La phraséologie a pour but de définir les groupements stables (locutions phraséologiques), de les classer, d’ établir les causes de leur apparition dans la langue, leurs traits caractéristiques. Il n’ existe pas de limites strictes entre les groupements libres et stables. Ces limites ont un caractère mobile. Les groupements stables font souvent leur apparition dans la langue à la suite de la lexicalisation des groupements libres, c’ est-à-dire à la suite de leur passage aux unités lexicales. Tel est le cas des locutions laver la tête à qn, prendre le taureau par les cornes, mettre les bâtons dansles roues et d’ une quantité d’ autres. Dans les cas cités ci-dessus on est en préssence des groupements homonymes (libres et stables). On peut laver la tête à son fils au sens propre de ce mot (groupement libre) et on peut également lui laver tête pour sa mauvaise conduite (groupement stable). Un homme courageux peut prendre le taureau par les cornes, on peut en réalité mettre les bâtons dans les roues . Les groupements stables ont donc commencé leur existence par être libres et ont fini par devenir des unités toutes faites grâce à leur constant emploi métaphorique.



Ainsi, tous les deux (les groupements libres et stables) sont intimement liés, ce qui est une preuve éclatante des rapports étroits de la lexicologie et de la grammaire. Grâce à leur fréquent emploi métaphorique les groupements aurefois libres se transforment en groupements phraséologiquement liés, en locutions phraséologiques qui présentent une unité d’ image et de sens.

A l’ encontre des mots, les locutions phraséologiques n’ont pas pour caractère la polysémie. La plupart des locutions phraséologiques sont monosémiques . De même qu’ un mot simple ou composé, les locutions phraséologiques peuvent exprimer une seule notion et accomplir le rôle d’ un seul terme de la proposition : coup d’ épaule [secours], tout d’ un coup [subitement], mettre fin à qch [en finir].

Vu les tendances analytiques très prononcées du français d’ aujourd’ hui, la création des groupements stables est pour le français moderne une source inépuisable d’ enrichissement de toutes les parties de son vocabulaire. Ainsi la lutte pour la paix a fait naître dans le monde entier une foule de locutions phraséologiques, purement analytiques, conformes à la syntaxe de nos jours : colombe de la paix ; patrisan de la paix ; combattant pour la paix ; messager de la paix ; collecter (recueillir) les signatures ; la lutte pour la paix ; le Conseil mondial de la paix ; les hommes de bonne volonté ; la cause de la paix.

Le début de la seconde guerre mondiale a reçu en France le nom de drôle de guerre, les guerres colonialistes sont appelées les sales guerres ce qui exprime tout le dégoût des hommes du monde entier pour les guerres injustes. Ce sont déjà des groupements de mots stables.

Les locutions phraséologiques se trouvent en abondance en toutes sortes de terminologies et se créent constamment. Il est intéressant de noter qu’ on crée parfois des locutions phraséologiques sur le modèle du type verbal synthético-analytique de groupements stables (« verbe + substantif sans article ») : faire surface (en parlant d’ un sous-marin) ; faire liste commune ; faire bloc ; prendre contact.

 

 

LE FONDS USUEL DU LEXIQUE

ET LES COUCHES LEXICALES

Etant étroitement liée à l’ activité productive de l’ homme, le lexique de la langue française connaît une évolution constante. Pourtant les diverses parties du lexique se modifient différemment. Son fonds usuel qui comprend tous les mots d’ un usage courant dans la langue se caractérise par sa stabilité, par son empreinte nationale fort prononcée. Outre le fonds usuel du lexique chaque langue possède des couches lexicales d’ un emploi plus ou moins restreint, telles que terminologie spéciale, jargons de classe, jargons professionels, parlers locaux (les patois), la majeure partie des emprunts, des mots internationaux qui ne sont pas d’ un usage courant.

 

LES DIFFÉRENCIATIONS SOCIALES

DU LEXIQUE FRANÇAIS

L’ un des critères principaux, qui permet de définir la nation est la communauté de la langue. La langue n’ est pas la création d’ une classe quelconque, mais le produit de toute la société. Elle sert de moyen de communication à toutes les classes de la société et manifeste une sorte d’ indifférence à

l’ égard des classes. Mais les classes, les différents groupes sociaux tâchent souvent d’ utiliser le lexique de la langue dans leurs propres intérêts en créant des termes particuliers, des expressions particulières, en prêtant une valeur spéciale aux mots déjà existants.

En France le jargon des précieuses, créé au XVII e siècle dans le salon de la marquise de Rambouillet présente un jargon de classe par excellence. On y trouve un choix de mots tout particulier, un certain nombre d’ expressions qui se distinguent par leur soi-disant raffinement : les dents – l’ ameublement de la bouche, l’ ongle – le plaisir innocent de la chair, les joues – le tronc de la pudeur, les pieds – les chers souffrants, le miroir – le conseiller des grâces, le fauteuil – les commodités de la conversation, la chemise – la campagne perpétuelle des morts et des vivants.

L’ argot ou jargon des déclassés

L’ argot des déclassés ainsi que les jargons de classe utilise la grammaire et la phonétique de la langue générale, il n’ a de propre que son lexique. Il sert de moyen de communication à un groupe social très restreint – aux malfaiteurs. Pourtant le jargon des déclassés a fait et continue de faire un apport à la langue générale. Les premiers documents sur l’ argot font leur apparition au XV e siècle. Toutefois l’ argot existe dès le Moyen Age. Au XV e siècle l’ argot des malfaiteurs s’ appelait le jobelin. Le premier terme de jobelin est le mot dupe[pigeon] qui par la voie métaphorique a commencé à désigner un homme bon à plumer comme le pigeon, c’ est-à-dire un homme qu’ on peut facilement tromper. Dans l’ argot le verbe duper signifie 'tromper en dépoullant en même temps'. Peu après apparaissent les dénominations synonymes du jobelin : jargon, argot, langue verte.

L’ argot des déclassés puise son lexique tout d’ abord de la langue générale. Il se sert très largement de l’ emploi métaphorique des mots usuels, des euphémismes : une bonne poire (arg.) [homme facile à duper] ; guillotine s’ appelle veuve, béquille, butte, banc, abbaye de monte à regret ; voiture de prison – panier à salade ; récidiviste – cheval de retour ; pomme de terre – orange à cochons ; tuer – apaiser, refroidir, expédier ; fuir en emportant les objets volés – partir pour la Belgique, sauver la caisse. L’ argent a une multitude d’ appellations métaphoriques très expressives : braise, huile, graisse (d’ où graisser la patte – дать взятку), galette, mitraille, oseille. Un sou s’ appelle un rond, une monnaie de cinq sous – une roue de devant, une monnaie de cinq francs – une roue de derrière. Il existe une quantité d’ argotismes très expressifs pour désigner l’agent de police : mouchard , flic, argousin, poulet, roussin, bec de gaz, cierge, chandelle. La prison s’ appelle ballon, boîte, coffre, malle, hôpital, séminaire, collège, trou.

Les jargons de profession

En dehors du fonds usuel du lexique se trouvent également la terminologie spéciale et les jargons de profession. On appelle lexique spécial l’ ensemble du vocabulaire propre à un groupe professionnel. En comparaison avec les parlers locaux qui ont leurs particularités phonétiques, grammaticales et lexicales, les jargons de profession ne diffèrent de la langue générale que par leur vocabulaire.

L’ usage des jargons professionnels est limité de même que celui des jargons de classe. Mais ce sont des limites d’ ordre professionnel et non pas social. Un homme de métier se sert de termes spéciaux durant son travail ou avec ses camarades de travail. Les jargons de profession ont généralement un caractère oral, on ne les écrit pas. Chaque métier a son vocabulaire à lui. Il existe l’ argot , ou jargon, des mineurs, des typographes, des cordonniers, des marins, des médecins. Parmi les plus connus sont à citer le jargon, ou l’ argot, scolaire qui emploie largement les abrégés : philo,dic, prof, récré, math,compo, géo, bac[baccalauréat], labo[laboratoire], certif [certificat d’ agré-gation]. Nous y trouvons des synonymes très expressifs aux verbes et aux noms de la langue usuelle : piocher, potasser, chiader[étudier] ; pion, prof[instituteur,surveillant]. L’ argot des casernes est très expressif : plumard, pucier[lit], singe[les conservesaméricaines], becquetance[repas], poilu[soldat], colis [obus], marmite[bombe]. On y trouve beaucoup d’ abrégés : sous-of, colon, géné, uni[uniforme].

Les argots des sports abondent en mots d’ origine anglaise, l’ Angleterre étant autrefois à l’ avant-garde de toutes les innovations sportives.

Comme on le voit les jargons de profession puisent leur vocabulaire dans le fonds usuel de la langue française en utilisant pour enrichir leur lexique les mêmes moyens que la langue de tous les jours, en premier lieu la métaphore, les abréviations, parfois les emprunts aux autres langues.

 


Chapitre V

 

Stylistique

 

Le terme « la stylistique » provient du mot grec « stylos » qui veut dire « poinçon de metal » dont les anciens se servaient pour écrire sur les tablettes enduites de cire. La racine du mot « stylos » a donné des dérivés : le syle, la stylistique, le styliste etc dans plusieurs langues. Dans la vie courante on comprend sous le mot « le style » la manière d’écrire, d’ exprimer sa pensée.

Pour Buffon (1707 - 1788) « le style n’est que l’ordre et le mouvement que l’on met dans ses pensées » . On connaît sa citation célèbre : « le style c’est l’homme même » (Dans son Discours sur le style). G. Flaubert considérait le style comme une « manière de voir. »

Mais jusqu’ à nos jours il n’existe pas de définition précise de se mot au point de vue de la science.

Dans la vie courante la stylistique – c’est l’ étude des procédés de styles propres à rendre le mouvement de la pensée et du sentiment ; le styliste – celui qui brille surtout par son style. P. ex. G. Flaubert est un des meilleurs stylistes français. Dans les beaux arts nous faisons usage des termes « le style », « la stylistique » au point de vue de la science.

Les problèmes de la stylistique française occupaient les linguistes et les écrivains français à partir du XVI – e siècle. Du Bellay, le poète de la Pléïade, écrit sa « Défense et Illustration de la Langue Française » où il lutte pour l’ enrichissement des moyens expressifs du vocabulaire.

Au XVII-e siècle, Vaugelas écrit « Remarques sur la langue française », Malherbe – « Commentaire sur Desportes » (poète du XVI–e siècle). Au XVIII–e Helvètius, Diderot, Rousseau, Voltaire ont exprimé les idées intéressentes sur le style des belles-lettres.

Au XIX–e siécle, les puristes essayaient de limiter la liberté de l’ écrivain de choisir les moyens de la langue tendis que les écrivains progressistes, tels que Stendhal, V. Hugo proclament le droit du chois libre des mots et des expressions nécessaires à rendre la conception d’ art d’ un écrivain.

Les problèmes de la stylistique attiraient l’attention des écrivains et des linguistes, pourtant ce n’est qu’ à partir du XX–e siècle que la stylistique devient une science à part. En 1908, André Séchéhaye écrit « La stylistique et la linguistique théorique » où il essaie de justifier théoriquement la stylistique comme une science linguistique indépendante. L’ouevre principale sur la stylistique française est le « Traité de stylistique française » de Charles Bally (1865 – 1947), disciple de Ferdinand de Saussure (l’école linguistique suisse). Charles Bally définit la stylistique,

c-à-d., définit son objet d’étude, ses tâches et sa méthode. Selon Bally, la stylistique étudie le systhème de faits de la langue, du point de vue de leurs expressions affectives. Les faits de la langue, d’une part, expriment les idées, d’autre part, évoquent de différentes émotions. Bally tient pour objet d’étude de la stylistique « le langage parlé de la langue nationale ». Selon Bally, l’étude du style de la langue des belles-lettres, du style individuel (ou personnel) des écrivains est la tâche de la critique littéraire. Sa méthode est la comparaison des faits semblables de la langue pour faire saillir les nuances différentes. En tant que disciple de F. de Saussure Bally renonce à étudier la stylistique au point de vue historique. A son avis, la stylistique examine les phénomènes stylistiques synchroniquement, c-à-d., conformément à une époque historique donnée.

Un autre linguiste français, Marouzeau (1878 – 1945), traite l’objet d’étude et les tâches de la stylistique d’un point de vue différent. Il estime que la stylistique n’a qu’à étudier le choix et l’emploi des moyens de la langue conformément au but de l’énonciation et des conditions de la communication. Marouzeau donne la caractéristique stylistique des moyens phonétiques, lexicaux et grammaticaux du français contemporain. Ses exemples sont tirés des oeuvres littéraires aussi bien que du langage parlé et d’autres styles fonctionnels.

Les linguistes étrangers s’occupaient des problèmes de la stylistique française aussi (p. ex. le linguiste allemand Vossler). Mais leur défaut méthodologique c’est le point de vue idéaliste sur les relations entre la langue nationale et le personnel dans le langage, l’exagération du rôle de l’individuel dans le développement de la langue.

Les linguistes sovétiques s’occupaient également des problèmes de la stylistique française. En 1954, une discussion a eu lieu au cours de laquelle on a essayé de définir les tâches et les méthodes de la science du style. Plusieurs problèmes restent encore à résoudre, il n’y a pas d’opinion unique sur beaucoup de questions. L’académicien Vinogradov a donné le résumé de cette discussion dans la revue «Вопросы языкознания» № 1, 1955.

En résultat de cette discussion on a désigné la stylistique comme une science indépendante. La stylistique – c’est une science philologique qui a pour objet d’étude les principes du choix et de l’emploi des moyens de la langue pour exprimer un sens déterminé dans de différentes conditions de la communication. La stylistique comprend les méthodes et les objets d’étude de la critique littéraire et de la linguistique. C’est une science synthétique qui se rattache à l’histoire de la langue, à la lexicologie et à la grammaire théorique car pour étudier la structure du langage contemporain il faut savoir les modifications phonétiques, grammaticales et lexicales qui ont eu lieu au cours des siècles. La stylistique étudie tous les faits de la langue dans leurs fonctionnements pratiques.

Le rapport entre la stylistique et la grammaire consiste en ce que la stylistique étudie, de sa part, les moyens grammaticaux de la langue. La différence consiste en ce que la grammaire décrit le systhème grammatical des moyens de la langue sans préciser leur emploi dans les styles fonctionnels, tendis que la stylistique étudie l’emploi des tournures grammaticales dans les styles variés.

Le lexicologie étudie l’enrichissement du vocabulaire, la formation des mots etc. La stylistique étudie la valeur affective ou expressive des mots dans les styles variés. (P. ex., prenons les trois synonymes du mot « maison » : demeure, domicile, cambuse. « Demeure » - c’est le mot neutre qui se rattache au fond essentiel de la langue ; « domicile » - c’est un terme qui s’emploie dans le style officiel ; « cambuse » s’emploie dans le style familier. Ces questions sont étudiées par la stylistique.)

Le rapport entre la stylistique et l’histoire de la langue consiste en ce que la langue se modifie avec le tamps. P. ex., les mots « mont » et « val » ont été remplacés par les mots « montagne » et « vallée ». De nos jours, les mots « mot » et « val » portent une certaine nuance stylistique – on ne les recontre plus que dans la poésie (comme brume – brouillard ; espérence – espoir etc). L’histoire de la langue dit que « le passé simple » et « l’imparfait du subjonctif » étaient fort à l’usage jusqu’au XVIII – e siècle. Dans le langage contemporain ces temps ne sont employés que dans la langue écrite.

De là découle la nécessité de savoir profondémént les sciences nommées pour pouvoir s’occuper de la stylistique.

La tâche de la stylistique est d’apprendre le choix des moyens de la langue pour exprimer la pensée avec toutes les nuances le plus clairement.

La stylistique se divise en trois branches :

1) – la stylistique linguistique ou la stylistique de la langue nationale ;

2) – La stylistique des belles-lettres ;

3) – le style individuel ou personnel.

 

Quelle est l’impotrance pratique de la stylistique ? La langue comme moyen de

la communication c’est l’ensemble des moyens lexicaux, grammaticaux et phonétiques qui sert aux hommes à se communiquer entre eux. Le chois des mots, des expressions, des formes grammaticales et des moyens phonétiques dépend du sens de l’énonciation et des conditions de la communication. Donc, la clarté, l’exactitude et l’expressivité de notre parole soit dans notre langue maternelle, soit dans une langue étrangère dépendent de la manière corcecte et rationelle du choix de ces moyens de la langue. Mieux nous saurons choisir les moyens de la langue, mieux nous saurons nous en sevir. La stylistique formule les principes de l’emploi des moyens de la langue conformément aux tâches de ceux aui parlent ou écrivent. La stylistique aide à choisir parmi les synonymes dont chacun a sa nuance, le mot le plus convenable, le plus rationnel dans un contexte donné.

 

 






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