Etats-Unis: la fusillade de Newtown repose la question des ventes d'armes Билет №1
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Libye : le consulat américain de Benghazi, une base de la CIA?
C'est en tout cas ce qui ressort de l'enquête d'un grand journal américain. Quatre ressortissants américains, dont l'ambassadeur, ont été tués dans cette attaque. Ce qui a provoqué une vive polémique aux Etats-Unis, en pleine campagne présidentielle. La présence d'agents secrets pourrait expliquer les ratés en terme de communication.
Sur les 30 membres du consulat, 23 étaient en fait des espions, selon le Wall Street Journal. Ces agents de la CIA travaillaient dans un bâtiment annexe, à l'abri des regards, situé à un kilomètre et demi du bâtiment diplomatique.
Le 11 septembre dernier, ces agents secrets n'ont reçu l'ordre d'aller chercher le personnel bloqué que 50 minutes après le début de l'attaque. Les deux officiers tués dans la bataille travaillaient justement pour l'agence de renseignements.
Les Etats-Unis ont visiblement décidé d'augmenter leurs effectifs en matière de renseignements dès le début de la révolution en février 2011. Dans leur base fortifiée, ces agents ont été chargés dans un premier temps de mettre la main sur les armes lourdes du régime Khadafi avant de concentrer leurs efforts sur la lutte contre le terrorisme.
Билет №2
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Israël : un reportage révèle que Benyamin Netanyahu préparait une attaque contre l'Iran en 2010
Une attaque israélienne sur l’Iran a-t-elle été évitée de justesse en 2010 ? Oui, si l’on en croit les auteurs d’une enquête diffusée ce soir, lundi 5 novembre, à la télévision israélienne. D’après les journalistes, le Premier ministre Benyamin Netanyahu et son ministre de la Défense ont demandé aux responsables de l’armée et des renseignements de lancer les préparatifs d’une attaque contre les installations nucléaires de l’Iran. Mais ce sont ces mêmes chefs de l’armée et des services secrets qui ont bloqué le projet.
La scène se passe en 2010. Ce jour là, Benyamin Netanyahu réunit autour de lui le « forum des sept », sa garde rapprochée au sein du gouvernement. Sont conviés également le chef d’état-major, Gaby Ashkenazi, et le patron du Mossad, Meir Dagan, qui depuis ont quitté leurs fonctions.
Selon les journalistes du magazine d’investigation Uvda, diffusé sur la deuxième chaîne de télévision israélienne, les deux hommes sont stupéfaits d’entendre le Premier ministre leur ordonner d’entrer dans la phase « P-Plus », un nom de code signifiant que l’armée et les autres services de sécurité doivent se préparer à une possible attaque.
C’est alors que le chef d’état-major et celui du Mossad auraient clairement résisté à la consigne. Meir Dagan, le chef des services de renseignement aurait même mis en cause la légalité de l’ordre du Premier ministre puisque la réunion en question n’était pas celle du cabinet de sécurité, le groupe des quinze ministres appelés à voter chaque décision importante.
Билет №3
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Polémique électorale en Israël après la visite de Khaled Mechaal à Gaza
La droite israélienne, dirigée par Benyamin Netanyahu, et l'opposition, s'accusent ce dimanche 9 décembre d'avoir renforcé le Hamas à l'occasion de la première visite dans la bande de Gaza du chef en exil de ce mouvement islamiste, Khaled Mechaal, à l'approche des élections du 22 janvier.
Khaled Mechaal s’est invité dans la campagne électorale israélienne. La droite menée par Benyamin Netanyahu, et l’opposition, se disputent pour savoir qui est responsable du renforcement du Hamas dans la bande de Gaza.
Pour Tzipi Livni, dirigeant d’un nouveau parti centriste, le gouvernement de Netanyahu a tout fait « pour affaiblir Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité palestinienne, en refusant de négocier sérieusement avec lui, ce qui a fait le jeu du Hamas ».
Le président Shimon Peres, tenu pourtant à un devoir de réserve, a lui aussi affirmé que le choix pour Israël est entre Mechaal et Abbas.
Du côté du gouvernement, en revanche, Benyamin Netanyahu s’est surtout attaché à attaquer non pas le Hamas, mais Mahmoud Abbas, accusé de n’avoir rien dit contre les tirs de roquettes de la bande de Gaza vers Israël, et « les appels à la destruction d’Israël, lancés par Khaled Mechaal ».
Autre point important, Benyamin Netanyahu a exclu un retrait unilatéral en Cisjordanie, qui permettrait selon lui au Hamas de prendre le pouvoir dans cette région, comme ce mouvement l’a fait, après le départ en 2005, de l’armée israélienne de la bande de Gaza.
Билет №4
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Etats-Unis: la fusillade de Newtown repose la question des ventes d'armes
L'émotion suscitée par le massacre perpétré dans l'école de Newtown, dans le Connecticut, vendredi 14 décembre, relance le débat sur la circulation des armes à feu. Le président Obama a souligné de nouveau samedi la nécessité de prendre des actions significatives pour éviter que de telles tragédies se reproduisent, «indépendamment de la politique». Barack Obama est attendu à Newtown ce dimanche 16 décembre pour rendre hommage aux victimes de la fusillade.
En ce qui concerne le contrôle des armes, Barack Obama est surtout armé de bonnes intentions. Il n’a jamais vraiment fait sérieusement pression sur le Congrès pour qu’il adopte des lois plus restrictives sur la possession et la circulation d’armes à feu.
Nombre d’élus ne sont guère chauds pour changer le statu quo de peur de mécontenter leurs électeurs. Les Américains restent partagés sur la question. Tout juste un peu plus de 50% souhaitent un durcissement de la législation. En 1994, Clinton avait fait adopter une loi interdisant la vente d’armes d’assaut, mais elle a expiré en 2004, et même si Barack Obama a timidement essayé de lui redonner vie, les républicains s’y sont opposés.
Carolyn McCarthy, une élue démocrate, est elle décidée après Newtown, à remettre la question sur le tapis. Carolyn McCarthy sait de quoi elle parle. Son mari a été tué lors d’une fusillade dans le métro à Long Island en 1993. «Je ne crois pas qu’il puisse y avoir suffisamment de lois pour stopper chaque massacre, mais ce que nous devons faire, c’est commencer une discussion sur les moyens de réduire le nombre de fusillades dans ce pays.»
Билет №5
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